2008-09-30

C'est drôle ça ?

Décidément, y'a des jours où l'humour américain, ça ne me fait pas un pli...

Croqué sur le vif à la sortie d'un restaurant-cafétéria qui ne veut pas retrouver ses cabarets dans le fond des poubelles :


C'est drôle ça ? Hé ben. J'savais pas.

2008-09-28

Les Américains se lèvent *trop* tôt et travaillent *trop* tôt le samedi...


La petite femme qui partage ma vie est une inconditionnelle des blogues BD. Elle en lit un gros paquet à tous les jours et elle s’en inspire également pour développer sa propre technique. Car voyez-vous, la petite femme est également une artiste dans l’âme ! Elle dira elle-même qu’elle est loin d’accoter la qualité des dessins d’un Pascal Colpron par exemple, mais elle est définitivement la championne incontestée des petites histoires pour enfants et des contes inventés à la sauvette (ça c’est moi qui le dit, pas elle).

Je me permettrai donc de vous offrir ici quelques-unes des petites chroniques personnelles qu’elle aura bien voulu livrer à l’univers de la blogosphère de temps à autre. Vous aurez donc le plaisir de voir consacrer certains dimanches du petit coin fou de Nicdou aux histoires de la petite femme de sa vie. Par contre, n’ayez pas trop d’attentes et ne me lancez pas d’ultimatum par courriel ! C’est elle qui mène et c’est elle qui décide de ce qui apparaîtra ici. Une fois par semaine ou une fois l’an, les histoires viendront au fil de ses humeurs et de son temps. 

Ma petite femme dessine à peu près sur tous les sujets, mais elle lance le bal cette semaine avec un fait vécu américain plutôt récent. Tout y est : l’anecdote, les sacres, l’emplacement des meubles dans la chambre (c’est vraiment comme ça !) et la petite araignée qui partage notre vie à l’extérieur de notre fenêtre depuis le début de l’été.

Sur ce, je lui laisse la parole... 

(Cliquez sur l’image pour l’agrandir) 

2008-09-24

Un c'est bien, mais deux c'est mieux...


Il y a quelques semaines, un collègue américain m’accoste en me demandant cette question complètement absurde : « Hey Nick, is it true that Canadians sell their milk in bags? » Euuu... Oui. Pas vous ? Et lui de s’esclaffer comme si j’avais raconté la meilleure blague de l’année.

Faut croire que non.

Curieusement, je n’avais jamais remarqué, mais c'est vrai qu'ils n'ont pas de sacs de lait. J’avais pourtant traîné mon pot de plastique lors de mon déménagement. Fallait bien quelque chose pour tenir mes litres de lait en sac ! Faut être con quand même, non ? Comme si les Américains savaient ce qu'étaient des litres...

Ce petit billet paraîtra donc complètement absurde auprès des lecteurs du Québec, mais j’ai profité de ma plus récente visite à Montréal pour ramener quelques photos d’intérêt aux amis d'ici :

1) Au Canada, on vend tout d’abord notre lait en litre (et non pas en « quarts » ou en « half quarts »). De plus, on le vend également en carton, pas uniquement en plastique :


2) Au Canada, on vend aussi notre lait en sac (ce qui n’existe absolument pas aux USA, où l’on préfère vendre des gros gallons de lait en plastique qui sont difficiles à verser d'une seule main) :




3) Les étalages canadiens sont donc ponctués de diversité laitière : plastique, carton, sac, un litre, deux litres, quatre litres, c’est au choix.


Ah oui ! Au Canada, on écrit le pourcentage de gras aussi. On ne se contente pas uniquement des whole milk, partly skimmed milk, reduced fat milk ou fat free milk.

Au fait, pour les Québécois, anecdote laitière pour anecdote laitière :

Lorsqu'on achète un réfrigérateur aux États-Unis, la largeur de l’étagère à l'intérieur de la porte est environ deux fois plus large que celle du Canada. Pourquoi ? Pour accommoder la largeur du gallon de lait, voyons ! Ces mastodontes sont environ deux fois plus épais que nos cartons de deux litres et il faut bien leur trouver une place dans le frigo. Assez spécial quand on essaie de faire tenir quelque chose de petit et de mince dans cet espace de lait gros comme un terrain de football...

(En passant, c'est une bouteille de 1.5 L de vin ça ! Pas seulement 750 ml...)

2008-09-20

L’état-providence ? Seulement si ça fait notre affaire...


Il y a quelque chose de vraiment ironique dans ce qui arrive avec les énormes faillites économiques qui sévissent actuellement aux États-Unis. Ironique parce que les bonzes qui étaient à la tête de ces immenses conglomérats financiers se tournent désormais vers l’état pour les protéger et les sortir de la merde. Je me permets de citer Lagacé à cet effet :

« Je me réjouis de voir ces hauts dirigeants qui bandent d’ordinaire devant le "libre marché" et l’ "économie libre" rencontrer soudainement leur Waterloo et demander à l’État de venir ramasser leurs jouets cassés. Je ne peux pas m’empêcher de rire. »

Comme quoi la preuve de l’avidité humaine n'est plus à faire et que la préoccupation de son prochain n’est qu’un concept théorique pour les adeptes de l’extrême droite économique de ce monde.

Pourquoi payer pour un système de santé universel quand on n’a jamais eu de problème de santé soi-même (ou qu’on peut se payer tout ce qu’on veut à cet effet) ? Pourquoi payer pour le bien de sa société quand on peut toujours se mettre quelques dollars de plus dans sa poche à la place ?

Or, là on est dans la merde et on se rend finalement compte des avantages que pourrait nous procurer l’état-providence ! Là on voudrait finalement profiter de ce que l’on décriait il y a à peine une semaine ? À les écouter, on leur dirait tous de manger un gros char de vous savez quoi...

2008-09-18

Les sept choses qui marquent les premiers moments du retour...


Long parcours automobile sur la I-91 et sur la I-89. Traversée à Highgate Spring (Vermont) près de Saint-Armand en direction de Saint-Jean-sur-Richelieu (selon mon expérience, le meilleur poste de douanes au Québec). Retour à Montréal pour quelques jours après avoir passé près d’un an en exil sans avoir traversé la frontière entre le Canada et les États-Unis. Impression légèrement désagréable de se sentir étranger dans sa propre patrie...

Brève liste de ce qui frappe l’imaginaire dans les premiers moments du retour :

1) Les routes. Franchement, elles ne sont pas si pires que ça ! C’est loin d’être le charme des autoroutes de la Nouvelle-Angleterre, mais on a déjà vu bien pire. Il faut dire que les travaux avaient été franchement intenses et désagréables dans ce coin-là il y a plusieurs mois. Au moins, le résultat semble être réussi.

2) La civilisation. Bien que le Canada ne soit que très peu peuplé par rapport aux États-Unis, il n’en demeure pas moins que les Américains ont une aversion particulière pour le nord de leur pays. À l’opposé, on sait également que les Canadiens ont, eux, une obsession marquée pour le sud de leur pays. Résultat ? À l’exception de la région des grands lacs et de l’état de Washington, les Étatsuniens laissent une bande de territoire de plusieurs centaines de kilomètres complètement vierge au sud de leur frontière avec le Canada. Des arbres, des routes vides, des arbres, des champs et encore des arbres... Dans leur imaginaire collectif, il n’existe rien au nord de cette bande de terre vierge. Pour eux, les états du nord comme le Maine, le Vermont, le Montana et le Minnesota, c’est déjà les ours polaires et les igloos. Or, que trouve-t-on après cette traversée du néant vers le Canada ? Des villages tricotés serrés, des autoroutes, du monde en masse et de la lumière en abondance : toutes des conséquences directes de la concentration des Canadiens au sud de notre pays. D’ailleurs, parlons-en de cette lumière...

3) La lumière. On critique souvent les Américains de gaspillage, mais il faudrait parfois se regarder le nombril, car notre hydroélectricité bon marché est clairement utilisée à la limite de la pollution lumineuse dans notre belle province. À bien des endroits, le soir venu, les routes du Québec nous permettent de voir comme si l’on conduisait en plein jour ! En fait, jamais je n’avais constaté à quel point nos routes sont exagérément éclairées comparativement à celles des Américains (dans ce cas-ci, ça n’a rien à voir avec la présence d’un milieu urbain ou non). Au Québec, dès qu’il y a un tournant, un virage, une bande de rétrécissement ou tout artifice de contrôle de la circulation, on installe une interminable rangée de lampadaires (ce que les Américains ne font pas, faute d’énergie électrique). Lampadaire après lampadaire, on pourrait pratiquement rouler des centaines de kilomètres sans pratiquement utiliser ses phares de nuit au Québec.

4) Les porcheries. On dirait qu’il y a une frontière plastique invisible qui sépare nos deux pays sur plusieurs dizaines de kilomètres d’altitude. Quelques mètres avant le poste de douanes du côté américain : aucune odeur particulière. Quelques mètres après le poste de douanes du côté canadien : ça pue la merde de porc... Hé ben.

5) Les lumières de Noël. En plus d’avoir une obsession pour le sud, les Québécois ont une nette obsession pour les lumières de Noël installées à l’année longue ! Maisons unifamiliales, commerces, arbres, y’a des lumières de Noël partout. Aux États-Unis, Noël est tellement devenue une fête commerciale, politiquement correcte et exempte de toute connotation chrétienne qu’on ne voit plus aucune lumière de Noël chez les particuliers, même à Noël...

6) Le régionalisme. Bien que teinté d’une forte connotation négative, ce point demeure néanmoins extrêmement positif. La traversée de la frontière vers le Québec donne immédiatement l’impression de retrouver une société régionale qui se tient les coudes et qui se comporte à la manière du siècle dernier au niveau commercial. À voir les petits magasins hétéroclites, diversifiés et indépendants qui résistent à l’envahisseur à peu près partout sur notre chemin (tant en campagne qu’en ville), on se surprend à réfléchir de manière contradictoire. Tout d’abord, on se dit « maudite société arriérée qui refuse la modernité commerciale et qui s’obstine à payer plus cher partout ! ».

Or, après avoir expérimenté ce que les villes américaines offrent au niveau commercial avec leurs rangées de Best Buy, de Wal-Mart, de Target et de multinationales qui se succèdent en quantités monotones et régulières d’une communauté urbaine à une autre, force est de constater que le Québec mérite de préserver cette distinction commerciale. N’importe qui aura tenté de se magasiner quelques disques usagés aux États-Unis comprendra ce que je raconte ici ! On se surprend alors à penser autrement et à réfléchir haut et fort que la diversité, les produits distincts et l’hétérogénéité du Québec ne peuvent qu’être applaudies au niveau commercial.

7) Les Québécois et les Québécoises. C’est peut-être con à dire, mais ils sont beaux ! Je me demande bien pourquoi...

Retour aux États-Unis dans peu de temps. On tentera d'en répertorier d'autres.

2008-09-14

Quatre millions de dollars d'aimants dans une seule photo floue...


Cette semaine, je me suis découvert un respect énorme pour les gens qui habitent la banlieue éloignée de New York et qui réussissent à se taper plus de cinq heures de transport à chaque jour pour se rendre au travail. Matin : voiture entre la maison et la gare de la banlieue, train entre la banlieue et la ville, marche de deux kilomètres pour se rendre de la gare au travail (car le boulot n’est pas nécessairement proche d’une station de métro). Soir : re-marche de deux kilomètres pour se rendre du travail à la gare de la ville, train entre la ville et la banlieue, voiture entre la gare et la maison. Et tout cela sans compter le temps nécessaire à l’attente des trains, à l’attente pour payer le billet de stationnement de la voiture, à l’attente dans le trafic, etc. Bref un « aspirateur d’énergie » absolument épuisant qui n’en vaut définitivement pas la peine.

Trêve de plaintes détaillées sur la pathologie des transports urbains occidentaux, je me permets de vous parler légèrement de Harlem, car j’y ai passé la semaine à imiter ses énergumènes automates, c’est-à-dire à me taper l’aller-retour entre New Haven et Manhattan à tous les jours. Vous me pardonnerez donc le peu de nouvelles ici, je me suis vite rendu compte qu’il était pas mal difficile de maintenir un blogue régulier quand on se lève à 5h00 du matin pour prendre un train de banlieue qui nous ramène à la maison à 21h00 à chaque soir. En fait, la seule phrase qui me revenait régulièrement en tête cette semaine était « dodo, hein ? ».

Sur ce, j’aurais bien aimé vous dire que Harlem a bien changé et qu'il n’est plus aussi violent que le fameux quartier de Manhattan des années 80 que tout homme blanc qui se respectait devait fuir au péril de sa vie. Cette amélioration demeure malgré tout plutôt vraie depuis le « ménage » de Giuliani, car je n’aurais définitivement pas réussi à me promener sur la 125e rue avec un chandail de Yale sans me faire éventrer à sept reprises en ces jours immémoriaux (ce qui fut tout de même possible cette semaine). Reste que Harlem demeure à ce jour extrêmement pauvre et que de s’y promener dans la journée demeure relativement précaire à plusieurs endroits.

Reste également que Harlem fait ressortir une caractéristique particulière de la société américaine actuelle. À travers toute cette pauvreté et cette violence se cache une richesse inespérée, une énormité technologique qui ferait rougir d’envie tout spectroscopiste contemporain : le New York Structural Biology Center (NYSBC). Situé dans un ancien complexe sportif auquel on accède de manière très restreinte après avoir traversé trois portes de sécurité magnétisées protégées d’un garde, le NYSBC est en réalité le résultat de ce que donne un consortium d’universités américaines qui mettent en commun leurs millions de dollars de fonds de recherche.

En plus d’être à la fine pointe de l’instrumentation de cryomicroscopie électronique, le centre de biologie structurale le plus impressionnant de l’Amérique du Nord est avant tout un leader en ce qui a trait à la résonance magnétique nucléaire. Pour faire saliver mes collègues RMNistes, imaginez ces aimants sous un même toit, remplissant deux gymnases à eux seuls (tous équipés en Bruker) :

2 spectromètres à 900 MHz (dont un qui passe 50 % de son temps en mode solide)
3 spectromètres à 800 MHz (liquide)
1 spectromètre à 750 MHz ‘wide bore’ (solide)
1 spectromètre à 700 MHz (liquide)
2 « petits » spectromètres à 500 MHz et 600 MHz (liquide)


Bien évidemment, tout ce beau monde est équipé d’une sonde conventionnelle ou d’une sonde cryogénique, c’est au choix... En fait, même les fonds de recherche consacrés à la RMN à Yale ne peuvent faire compétition à ce genre d’équipement !

Au fait, vous avez déjà vu quatre millions de dollars d’aimants dans une seule photo floue ?


Ironiquement, lorsqu’on sort à l’extérieur et qu’on marche quelques pas vers le sud, on peut lire ça :


2008-09-08

Obamanie ? Beatlemania ? Quand les mots-valises ne suffisent plus...


Le gars, y’en a un peu marre de l’Obamanie chez les journalistes québécois. Vous avez remarqué la ferveur démocrate qui ratisse large chez les chroniqueurs politiques du Québec ? Le parti pris ratisse tellement large qu’il se déplace dans un autre pays ! D’accord, Obama il est beau, Obama il est fin, Obama serait (sera ?) fort probablement l’un des meilleurs présidents étatsuniens en ce qui a trait à l’image projetée par ce pays au niveau international. Mais y’a toujours bien des limites à tomber dans l’extrême partisannerie semblable à celle que projette Fox avec la droite républicaine, non ?

Exemple tiré d’une chronique de Vincent Marissal (La Presse), qui en bavait suite à la convention démocrate d’il y a deux semaines :

« Aucun parti d’ici n’arrive à mobiliser une base militante aussi vaste et aussi active. Et, surtout, aucun parti n’en a les moyens, pas même les conservateurs, qui nagent dans le fric. (...) Aucun parti [canadien] n’est assez équipé en charisme, en idées, en faiseurs d’image et en rédacteurs de discours pour [organiser une fête du genre]. (...) En écoutant Barack Obama, on se rend compte aussi, avec dépit, qu’aucun leader politique d’ici ne s’approche de ce tribun extraordinaire. »

Wo les moteurs quand même... On se calme le poil des pieds ! Pour l’argent, on lui donnera raison, mais M. Marissal est-il au courant que le système américain est biparti ? Aux États-Unis, il n’y a point de salut (ou presque) en dehors des républicains ou des démocrates. Quand tu n’as que deux choix sérieux auxquels tu peux donner ton vote, ce n’est pas trop difficile d’accumuler la population de ton bord... Imaginez le Canada avec une situation similaire et vous en auriez du monde à la messe ! D’un côté comme de l’autre.

Inutile de préciser qu’avec un système à multiples partis comme celui de notre fédération, la population est divisée tant au niveau géographique qu’idéologique. Oubliez Obama et McCain pour deux secondes et examinez ces deux partis étatsuniens avec deux têtes d’affiche plutôt ordinaires (disons Kerry et Bush comme en 2004) : deux partis néo-conservateurs qui se distinguent relativement peu au niveau originalité...

De toute manière, dire que les candidats canadiens sont monotones n'est qu'une demi-vérité, car vous constaterez bien qu'ils seront pas mal moins endormants pendant la campagne canadienne actuelle ! Obama ne fait pas exception à la règle suivante : quand on s'intéresse à eux, les politiciens sont soudainement pas mal plus intéressants...

Les chroniqueurs du Québec auraient peut-être intérêt à laisser leur partisanerie au rencart pour deux minutes, car ils ne sont parfois pas très loin de tomber dans la Beatlemania. Je trouve d’ailleurs particulièrement ironique que leur couverture se concentre primordialement sur la perception davantage que sur les idées de fond.

Pourquoi ne pas regarder les faits d’un point de vue Canadien ? C’est pourtant cet aspect qui nous touchera, non ? Bien évidemment que les États-Unis seraient mieux gouvernés par Obama à bien des niveaux, mais arrêtez-vous quelques minutes sur sa position par rapport à l’ALÉNA. S’il y a quelque chose qui risque de faire mal au Canada, c’est bien ça (mon collègue Khoi en discute mieux que moi, d’ailleurs).

Mais non. Pour Obama, on est gaga, on lui lance des fleurs et on lui donnerait le bon Dieu sans confession !

Ne dit-on pas que la chose à faire en politique est d’étudier les idées plutôt que de tomber sous le charme hypocrite d’un candidat charismatique ? Plutôt ironique provenant de journalistes « sérieux »...

Mais bon, on les comprend quand même un peu, car ils font une maudite bonne job lorsque vient le temps de critiquer Dion... ;-)

2008-09-06

Avez-vous déjà vu ?

Je me tape quelques-uns de ces petits vidéos français de ces temps-ci. Côté absurde, on touche des sommets ici... Le ton de voix du plaignard et la lenteur du collier de girafe qui tombe sont absolument mordants.



« Ahhhh noooooonnnn... »



« J’habite au quinzième étage de la bouse, appartement crotte ! »



« Ahhhh zzzzuuuuutteeeeeeee... »

Bon d'accord, il faut les regarder plusieurs fois pour apprécier... ;-)

2008-09-02

a la Francais

Wow ! Trois mots dans le sous-titre, quatre fautes ! La préposition, la majuscule de trop, la cédille absente, le "e" manquant. Non mais faut le faire quand même ! Comme quoi lorsque le commerce réussit à inculquer l'image mentale clichée au consommateur, celui-ci se fout pas mal de l'authenticité et des correcteurs... Croqué sur le vif au Connecticut.
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